FRANCE Liberté 2020

  « C’est fatigant la liberté » Depuis des mois je n’arrivais pas à comprendre pourquoi les Français ne se sont pas révoltés contre la privation de leurs libertés les plus élémentaires durant la « crise sanitaire » du Covid-19. La participation et les résultats des élections régionales ont renforcé mes interrogations. Pourquoi aucune réaction ? Comment peut-on laisser aux fossoyeurs de nos libertés une telle impunité ? J’ai enfin une réponse à cet état de fait : « C’est fatiguant la liberté, cela oblige à des attitudes courageuses… Oui je crains que le sentiment de liberté ne soit affadi, mais il en va de même de tous les sentiments politiques, de vie publique (…) ». Jean-Marie Le Pen, CAUSEUR n°92 été 2021. Merci président, heureusement qu’aujourd’hui, comme hier et j’espère demain vous êtes là pour éclairer nos lanternes !

  Je pronostique, ce jour, mercredi 21 octobre, que d’ici la rentrée scolaire prévue lundi 2 novembre 2021, deux évènements vont se produire : Quelques individus vont commettre un « attentat raciste » envers un lieu de culte musulman (sans morts et avec des dégâts limités). Dans les vingt-quatre heures les coupables seront arrêtés et de nouveau la pseudo menace « Nazi » donc « Le Péniste » sera brandie pour étouffer toute révolte populaire. Ou comment relégitimer le « pas d’amalgames » et poursuivre la culpabilisation des « français de souche ». Reconfinement total des 9 métropoles en « couvre-feux » pour un mois afin d’officiellement stopper la COVID-19 mais en réalité pour éviter les centaines d’incidents prévisibles dans les établissement scolaires lundi 2 novembre à l’occasion de la minute de silence en mémoire de mon collègue Monsieur PATY. Seule la province pourra donc rendre hommage à ce professeur, il sera...

  Professeur de banlieue je constate depuis plusieurs années le renoncement voir la complicité de nombreux « collègues » envers l’islamisation rampante de notre pays. Accueil « bienveillant » des « mineurs isolés », mise « sous le tapis » des entorses à la laïcité », refus de sanctionner qui que se soit pour ne pas ajouter « de la misère à la misère » (…). Mais par delà ces excuses, la vérité est que tous mes collègues « français de souche » (et ils sont de moins en moins nombreux) ont PEUR  d’être suspectés de racisme, d’islamophobie et pire encore de voter LE PEN. Il est trop-tard   pour changer les choses, le rapport de force est tel que la situation est irréversible. A partir du lycée les parents d’élèves les plus revendicatifs, les plus islamistes « disparaissent » mais pendant des années ils ont « pourri » la vie des professeurs des écoles et des collèges.   Non seulement...