"La tête sur les épaules"

 Professeur de banlieue je constate depuis plusieurs années le renoncement voir la complicité de nombreux « collègues » envers l’islamisation rampante de notre pays.

Accueil « bienveillant » des « mineurs isolés », mise « sous le tapis » des entorses à la laïcité », refus de sanctionner qui que se soit pour ne pas ajouter « de la misère à la misère » (…).

Mais par delà ces excuses, la vérité est que tous mes collègues « français de souche » (et ils sont de moins en moins nombreux) ont PEUR  d’être suspectés de racisme, d’islamophobie et pire encore de voter LE PEN. Il est trop-tard  pour changer les choses, le rapport de force est tel que la situation est irréversible.

A partir du lycée les parents d’élèves les plus revendicatifs, les plus islamistes « disparaissent » mais pendant des années ils ont « pourri » la vie des professeurs des écoles et des collèges.  Non seulement ils sont agressifs  mais de plus ils bénéficient souvent de l’appui des Mairies et d’une écoute « bienveillante » des inspecteurs de l’éducation nationale.

Toujours « la Chape de plomb » : la peur, la TERREUR d’être accusés de racisme, d’islamophobie et horreur absolue : de voter LE PEN.

Voila mon constat, mon quotidien. Rien ne pourra changer dans nos écoles sauf si la France « profonde » se réveille dans un dernier sursaut avant sa disparition programmée.






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