Après la "grande peste" Coronavirus, COVID-19 quel avenir pour les "survivants"?
Le « monde d’après » ?
A longueur de
journées on nous assène que seule une économie tournée vers la transition
écologique et la défense des plus faibles peut nous permettre de surmonter le
choc économique engendré par la crise du Coronavirus.
Quelle blague ! Les écologistes
« pastèques » (Verts à l’extérieur, Rouges à l’intérieur) se trouvent
au centre du débat politique.
Et que dire des figures de la
« Droite Républicaine » qui précisent à chacune de leurs
interventions qu’ils sont
« Gaullistes Social ». Et oui, il faut être de droite
mais pas trop quand même…
En gros il faut se « réinventer » mais pas
trop.
Tous ces braves gens n’ont pas pris la mesure de la
situation.
Nous allons affronter une dépression économique et non
une récession et encore moins une simple « crise » conjoncturelle.
Une dépression économique
marque un effondrement des composantes de la croissance :
- La consommation : La confiance en l'avenir est au plus bas chez les ménages. Du coup, ils consomment moins et épargnent davantage. Cette chute de la consommation est renforcée par la baisse des salaires et un taux de chômage élevé.
- La production : Les entreprises cherchent à écouler leurs stocks et ralentissent leur production pour ne pas se retrouver avec des invendus. Pour s'adapter à la baisse de la consommation, elles sont obligées de baisser leurs prix et donc de réduire leur marge. Cela conduit à un phénomène de déflation.
- L'investissement : D'un coté, les banques se montrent méfiantes pour octroyer des crédits aux agents économiques. De l'autre, les ménages et entreprises se montrent frileux pour investir. Ils ont peur de l'avenir et diffèrent leur projet d'investissement. Durant une dépression économique, l'investissement est au plus bas.
Ce que nous avons à défendre vraiment ? Là
aussi la réponse est « simple » :
Angela Merkel rappelle volontiers une phrase
prononcée dès 2004 : "Même
les Aztèques et les Mayas ont disparu." Avec "7 % de la population mondiale,
25 % de la richesse mondiale et 50 % des dépenses sociales mondiales",
l'Europe n'est pas à l'abri d'un tel destin si elle ne retrouve pas sa
compétitivité. Angela Merkel a déjà vécu l'effondrement d'un système(…) https://www.lemonde.fr/europe/article/2013/09/20/angela-merkel-la-mere-patrie_3481677_3214.html
Sans être un « grand économiste » je peux prévoir
qu’après avoir usé ses « amortisseurs sociaux » (au plus tard en
décembre 2020), la France va se trouver
dans un contexte économique et social intenable. Avec 6 à 8 millions de
chômeurs, la spirale de la dépression économique va être terrible.
L’alternative qui nous est proposée aujourd’hui : le communisme (les pastèques et
leur rêve de « Cuba sur Seine ») ou plus vraisemblablement une « dictature sociale » menée par MACRON
et un gouvernement « d’union nationale ».
Après tout, une simple loi « d’urgence
sanitaire » nous a privé de notre liberté sans que personne ne
réagisse !
Pourtant un vrai plan d’urgence économique est possible pour sauver l’économie de notre pays
et notre mode de vie. Quelques mesures de « bon sens » sont à
prendre :
- Un vrai plan d’urgence pour notre agriculture. Il
faut absolument préserver ce secteur, c’est la priorité des priorités. N’en
déplaise aux écolos et aux technos l’agriculture est le socle indispensable de
la préservation de la France.
- La diminution de 15% des montants de
toutes les aides sociales et de toutes les pensions de retraite. Ce
sont les actifs et les jeunes qui nous sortiront de ce pétrin. Pas les séniors ni
les assistés.
- La mise au pas de tous les
« roitelets », Maires, Présidents des départements et des
Régions. La France est un état Jacobin, n’en déplaise à Monsieur ONFRAY.
- Un plan de remigration rapide et massif.
Non il ne faut pas nécessairement être un « conspirateur d’extrême
droite » ni pire un « Nazi » pour constater de visu que notre
cohésion sociale est mise à mal par la présence de trop nombreux immigrés sur
notre sol. Tout le monde sera gagnant et d’abord et avant tout les pays
d’origine de ses populations inassimilables par une France exsangue.
- La taxation de la rente et des
héritages à hauteur de 50% pour financer un allègement massif des
impôts sur la production et le travail.
- Et
enfin, le démantèlement
sur 20 ans de toutes nos centrales nucléaires. Le danger que représente
un seul de nos 57 réacteurs nucléaires et sans commune mesure avec quelque
virus que ce soit. Le nucléaire est la négation ultime de l’humanité. Il n’y a
pas d’autre « urgence écologique » comparable à ce fléau. Pour vous
en convaincre, je ne saurais que vous conseiller de voir la série TV
« Tchernobyl » et de lire le livre « Terminus radieux »
d’Antoine Volodine.
Vous allez me dire « mais c’est qui
celui -là pour nous donner des leçons, est-il légitime ? »
Je vous réponds par avance : je ne suis personne, je n’ai
aucune légitimité, je ne cherche à convaincre personne.
Je suis juste attaché, moi, à ma Liberté et j’emmerde
toutes les pastèques, les lâches, les politicards de tout bord.
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